mardi 21 février 2012

La peste aux ongles d'or...

Résidente ordinaire des égouts, familière des ténèbres, amoureuse des cloaques, elle vivait tapie, attendant son heure pour surgir sur le dos des rats malades poussés par la souffrance dans le monde des humains.
Nul ne connaissait son nom. Tous ignoraient son regard. Personne ne l’avait jamais fréquentée de son plein gré. Seules, infligées au hasard des divagations de ces rats purulents, de puantes lésions mortelles révélaient sa présence.
Il était déjà trop tard !
Elle avait déjà semé partout ses graines de mort que, à leur insu, les vivants de surface promenaient à leurs semelles de plomb, et propageaient avant d’en être eux-mêmes de pitoyables victimes.
Nulle part repérée, mais partout active, elle épiait, rôdait toujours, attaquait souvent, tuait à chaque sortie.
De temps en temps, elle se repliait dans son antre, faisait mine de disparaître, laissant croire aux hommes trop confiants que sa menace était à jamais éteinte.
Mais, de son quartier général enfoui de plus en plus profondément dans les entrailles des ténèbres, à l’aide de ses antennes agissantes dressées jusqu’au ventre mou des nuages, couvertes de béton, de métaux et de verre frappés de sigles et logos rassurants, drapées parfois dans des bannières d’Etat, ornées de lois organiques ou de circonstance, tatouées de devises trinitaires à la « Liberté-Egalité-Fraternité », sous des déguisements savants créés par des costumiers de tragédie, elle veillait. A force de prendre les formes, les couleurs, les odeurs, les saveurs du convenable, et d’en jouer à la perfection les rôles, elle avait fini par être admise comme une compagne possible, voire comme une alliée souhaitable.
Nombreux étaient celles et ceux qui, l’air du temps et les dieux de la communication aidant, étaient allés jusqu’à lui confier leur existence. Ils en avaient un peu profité, certes, dans les bouchons d’été, sur la neige « de culture », ou dans les jeux télévisés, avaient cru pouvoir user sans fin de ses bienfaits, jusqu’à…

Un jour, tous s’étaient aperçus -trop tard !- qu’elle leur avait subtilisé toutes leurs ressources de vie, jusqu’à leur personnalité même, jusqu’à la nature de leur propre regard sur le monde… qu’ils n’avaient même plus les moyens de leur survie !
Aliénés, dépouillés, spoliés, ruinés !
Leur maison ne leur appartenait plus !
Voiture, ordinateur, réfrigérateur, téléphone portable, tablette électronique, aspirateur, tickets de métro et de loto, feuilletons qui leur avait fait croire plus belle la vie… jusqu’au lit conjugal ou adultérin… jusqu’à leur indépendance d’esprit… tout leur avait été retiré, confisqué, enlevé, anéanti !
Après les avoir subtilement persuadés qu’ils étaient seuls responsables de leur nouvelle condition, la clandestine aux mille et une protections secrètes les avait couverts de honte, de bubons infectés, de plaies béantes, les avait jetés à la rue avec ses détritus, chicots de Havane, pots de caviar léchés jusques au verre, préservatifs « peau d’ange » souillés de liqueur séminale, tabloïdes caviardés… au milieu des rats crevés et crevants devenus leur compagnons ordinaires de misère.
Alors, ils s’étaient sentis… pestiférés !

Toujours invisible, mais à l’affût, avec ses complices agissants des antennes de pouvoirs en érection permanente, elle avait joui de leur extrême faiblesse comme du moment de tous ses espoirs, leur avait offert des cartons pour logement, une soupe populaire pour nourriture, des primes et allocations pour salaire de la peur, des promesses de mieux-être futur pour tout avenir. Bouche en cul de poule et bras en croix dans une posture familière de sauveur, elle était passée à l’ « action humanitaire ». Compassion, générosité contrôlée et aumône savamment répartie, devaient lui donner l’allure d’une sainte protectrice. Elle les tiendrait ainsi plus fermement dans son espace de prédation, et pour plus longtemps !
Elle y réussit.
Elle leur avait même offert de spectaculaires élections pipées, des reprises d’entreprises moribondes de petites culottes que leurs complices avaient au préalable coulées, pour leur faire croire à des lendemains chantants, à l’avenir d’abondance, et les persuader qu’ils pouvaient encore espérer revivre !
Et ils l’avaient crue !
Alors, elle s’était lâchée, avait dénoué la laisse de ses spéculateurs aux dents de fauves qui s’étaient précipités sur les marchés. Elle avait lancé à travers le monde ses manipulateurs d’opinion qui avaient bondi sur les peuples, ses hauts thésauriseurs du « pays d’en haut » avides des bas de laine des petits du « pays d’en bas » ! Tous ses sbires, baptisés « élite » par les clercs de la nouvelle religion planétaire, s’étaient goinfrés de restes de Livret A, de reliquats de comptes d’Epargne, de lambeaux de fonds de prévoyance et de retraite ; ils avaient vendu les usines et les bureaux pour en tirer un liquide nauséabond mis en citernes bien closes dans des régions très imperméables, fermé puis vendu hôpitaux et écoles dont ils avaient mis meubles, praticiens et maîtres à l’encan mondial !

Alors, malgré la soupe populaire, les cartons-logements, les primes et allocations, et les promesses électorales de mieux être, victimes d’effroyables morsures de rats, toutes et tous (sauf les « élites » !) étaient morts dans d’atroces souffrances, les petits d’abord, les humbles, les sans grade… puis les moins petits qui, un temps, s’étaient cru protégés par les pilotis de leurs demeures à porche et ronflantes fonctions… puis les plus grands qui avaient tenté, un temps, de jouer la proximité immunisante avec les rongeurs à bubons pour échapper à la contagion. Tous y étaient passés !

L’infaillible docilité de ses rats l’ayant jusque là persuadée qu’elle était à l’abri de tout risque de maladie létale, elle semblait avoir oublié que les graines de mort qu’elle avait elle-même créées puis confiées aux rats des ténèbres avaient une puissance destructrice telle que, en cas de morsure par un animal de sa horde devenu incontrôlable, elle aussi en mourrait.
Elle se voyait éternelle, y croyait dur comme fer (de Lorraine, liquidé à des cousins lointains !)
Pourtant…

Vint un jour où, n’ayant plus rien à se mettre sous la dent, rendus fous de colère par l’insatisfaction d’un besoin d’appropriation de l’autre devenu viscéral, quelques premiers rats se mirent à se mordre entre eux, avec frénésie, avec furie, avec folie ! Leur rage gagna les autres, même les plus placides, même les plus obèses !
Carnage chez les rats « élites » !
L’un après l’autre, contaminés jusqu’à l’os, ils succombèrent dans d’effrayantes douleurs.
Dans un ultime sursaut de violence, juste avant de disparaître, les plus solides -qui étaient aussi les plus hargneux- se retournèrent contre leur inspira trice, elle, toujours tapie dans son antre enfoui dans les entrailles de la mémoire, sous ses antennes agissantes dressées jusqu’au ventre mou des nuages, couvertes de béton, de métaux et de verre frappés de sigles et logos rassurants, drapées dans des bannières d’Etat, ornées de lois organiques ou de circonstance, tatouées de devises trinitaires à la « Liberté-Egalité-Fraternité », sous des déguisements savants créés par des costumiers de tragédie. Ils la déchiquetèrent, en firent des lambeaux gluants et puants, en burent jusqu’à la dernière goutte les humeurs putrides. Puis, repus mais empoisonnés, ils s’effondrèrent. Puis ils se diluèrent dans le sol.
Alors, elle disparut, ses rats avec elle, et… tous les humains du haut, du bas… de partout.
Alors, un étrange silence surgit.
Le temps passa.

Un jour, soudain, un merle osa chanter.
Le lendemain, la terre se couvrit de perce-neige et de jonquilles, de pivoines et de roses, de mille et une fleurs de parfum et de Lumière !
Bientôt, lapins et chevreuils effrontés montrèrent au ciel leur petit cul blanc !
Et le soleil se remit à luire sur des prairies où butinaient de nouvelles abeilles !
La planète respirait enfin !
C’était juste après la mort violente de…
La peste aux ongles d’or !


Salut et Fraternité.


La peste aux ongles d'or © Gilles Laporte 02/2012

image médecin de peste origine inconnue - droits réservés

jeudi 16 février 2012

"Les Grandes gueules" à la campagne... présidentielle !

Depuis hier soir, mercredi 15 février 2012, 20h15 (date et heure historiques), la distribution est au complet.
Tous les acteurs sont déclarés, le scénario est prêt, les dialogues sont écrits, les décors repérés et montés…
Le tournage du film peut commencer !
Comme en 1965.
Souvenons-nous : « Hector Valentin revient dans ses Vosges natales hériter de la scierie familiale. Il embauche plusieurs repris de justice… »
Bien sûr, dans ces quelques lignes, vous avez reconnu le film de Robert Enrico Les Grandes gueules, dialogué par José Giovanni, mis en musique par François de Roubaix.
A cause sans doute de la Krise (mot allemand du nouveau vocabulaire diplomatique européen) et de ses effets sur le budget de la production, pour cette nouvelle mouture des Grandes gueules, les acteurs auront moins de charisme parce que moins de talent, les dialogues seront plus indigents, les décors seront de fortune : Palais Bourbon et autres palais nationaux aux décors d’or naturel, salles de concert et de réunion décorées de calicots, chaînes de radio et de télévision si possible amies afin d’obtenir des conditions financières privilégiées (après avoir fait son cinéma précédent sur le yacht Bolloré et dans l'argenterie de la "brasserie populaire" Fouquet’s, le comédien principal de la nouvelle production ne vient-il pas d’annoncer sa participation à la nouvelle aventure depuis le studio de Bouygues ?)
Il n’empêche…
L’histoire reste la même : la relance programmée d’une activité moribonde par une escouade de bras cassés, quelques-uns tout juste sortis des tribunaux, voire de prison (ou sur le point d’y entrer !)
Tout cela au nom du peuple que tous voudraient remettre au travail (l’aurait-il quitté par plaisir… ou en aurait-il été exclu ?) pour relancer l’économie en général, et les économies d’une poignée d’entre eux en particulier.
Parviendront-ils, avec de si maigres moyens et une distribution aussi médiocre, à faire oublier leurs rôles d’hier encore si proches, dans des pièces comme Le Bouclier fiscal, Vacances au Texas chez l'ami Bush, La charge des trente-cinq heures, ou Coup de foudre en Arménie ?
L’Arménie… En son temps, voilà quelques semaines (voir mon billet blog du 26 décembre 2011), j’avais posé à son propos une question simple aux responsables parle-ment-taire(s) de la distribution de droite et de gauche, comme aux seconds rôles de ma proximité géographique : « Qu’en est-il de votre position sur ce dossier ? »
Leur empressement à me répondre prouve à quel point ils respectent l’humble spectateur de leur tragi-comédie que je suis. A ce jour, aucun ne m’a répondu, à croire que, mises à part les pantomimes de l’Assemblée nationale les jours de retransmission TV, ce peuple dont je suis l’une des poussières n’existe pas ! Peut-être, après tout, ces gens sont-il de vrais artistes, désintéressés (?!?), seulement préoccupés par la beauté du geste de création politique, imperméables aux attentes de leur public, uniquement soucieux d’offrir parfois, du haut de leur chaire de velours cardinalice, leurs visions poétiques d’un autre monde !
Pas de réponse à ma question que j’ai la faiblesse de croire légitime, mais…
Un nouveau film en préparation !
Malgré les promesses d’une nouvelle société par ces nouvelles Grandes Gueules, et du redémarrage attendu de la scierie oubliée, je m’acharne à préférer les vrais comédiens du bon film d’hier, admirablement conduits par Robert Enrico : le généreux Lino Ventura, le touchant Bourvil, la délicieuse Marie Dubois, le costaud Michel Constantin, le timide Paul Crauchet… Je ne peux par oublier les harmonies émouvantes de François de Roubaix, ni les dialogues percutants d’un José Giovanni qui, lui, ne trempait pas sa plume dans le champagne frappé du palais de l’Elysée !
Ceux-là étaient sincères, et leur spectacle exprimait leur amour des gens simples !
Eux, au moins, ne faisaient pas… scier le peuple !
Salut et Fraternité !

mercredi 15 février 2012

Cantate de cristal - La presse en parle ! 3

RTBF Vivacité (01 12) : Gilles Laporte est un vrai passionné d’histoire et de terroir. Il nous partage avec grande conviction et beaucoup de talent cet amour de la terre, des us et coutumes (…) Cantate de cristal : une superbe saga historique au travers la vie d’ouvriers de la Cristallerie de Baccarat ! L’auteur nous fait revivre entre autres évènements majeurs, l’Exposition Universelle de Paris de 1867, les relations franco-allemandes, et surtout nous plonge avec délices dans le quotidien de l’époque.
France Info (Philippe VALLET Le Livre du jour 03/02/12) : Le travail du verre est un travail de magicien. C’est ce que rappelle Gilles Laporte dans son nouveau roman. Un livre qui raconte la vie des Cristalleries de Baccarat au 19ème siècle mais aussi la rencontre entre un homme doué d’une voix exceptionnelle et une femme passionnée. Deux êtres unis par l’amour de la musique.
Vosges Matin (Armand Georges 09 02 12) : De livre en livre, Gilles Laporte s’affirme comme l’un des bons auteurs français contemporains (...) Il ausculte le cœur des hommes, il observe la marche inexorable du monde, il épie les destins individuels dans le bourdonnement du temps. Il suit en cela les traces de ses aînés en littérature, comme Bernard Clavel et son Jura, Michel Peyramaure et sa Corrèze… Foin de régionalisme là-dedans ! Ou alors Paul Auster et ses rues de New York, Pierre Pelot et ses Vosges, Erskine Caldwell et sa Louisiane seraient à classer dans ce rayon (…) Il crée des personnages ou anime des personnalités ayant existé, avec une affection toute particulière pour les portraits de femmes (...) Il donne vie à une grande fresque où l’Histoire, nationale et internationale, ne manque pas de ponctuer ses pages, venant en toile de fond comme un bruit sourd des menaces et de l’agitation. Cette nouvelle histoire de chant, de cristal et d’amour porte la marque d’un auteur authentique qui sait habilement saisir la tendresse ou la dureté d’un regard, tout autant que l’air du temps et le mouvement d’une foule.

A suivre...

samedi 11 février 2012

Cantate de cristal - La presse en parle ! 2


Histoirepatrimoinebleurvillois.com (12/01/12) : Gilles Laporte, avec le talent qu’on lui connaît, nous révèle le monde passionnant des magiciens du verre et du cristal où le travail de l’homme sait, de la matière brute, faire jaillir la lumière. Et faire naître une rencontre de deux destinées que, pourtant, tout devait séparer.
Un hommage chaleureux à la femme et aux ouvriers de partout et de toujours.
BILTO (17 01 12) : Cantate de cristal. Dans un contexte historique très riche, l’auteur nous raconte la destinée de ce jeune Florent possédant un don exceptionnel, avec, en toile de fond, l’âge d’or des cristalleries de Baccarat.
mylorraine.fr (Mathieu BONIS 17 01 12) : Je viens tout juste de terminer Cantate de cristal et l'ai littéralement dévoré(…) Hymne à la gloire des ouvriers à leurs multiples talents qui disparaissent régulièrement... Véritable déclaration d'amour à la Lorraine (…) Le contexte historique, géographique, social a été scrupuleusement respecté (…) C'est l'esprit d'ouverture de ce siècle qui vous enchante, incarné ici par Régina Galtier…
mylorraine.fr (BONIS Mathieu 23/01/12) : Il est à la Lorraine ce que Maurice Genevoix était à sa Loire natale. L’écrivain Gilles Laporte vient de sortir aux éditions Presses de la Cité son nouveau roman Cantate de cristal. Il y raconte la destinée d’un jeune homme possédant un don exceptionnel, avec en toile de fond, l’âge d’or des Cristalleries de Baccarat. Un régal !
Le Dauphiné Libéré - Leslecturesdemartine.com (Martine GALATI 24/01/12) : Gilles Laporte (…) nous offre ce merveilleux texte, à l’émotion palpable, aux rebondissements inattendus, alternant finesse et abrupteté, aux descriptions minutieuses, insérant avec tact sa petite histoire dans le Grande et, surtout, en nous donnant à rencontrer des caractères bien affirmés (…), des femmes volontaires faisant parfois fi de tout sentimentalisme mais sachant néanmoins conserver leur part de féminité et des hommes qui le sont tout autant sans jamais se départir de leur force dans ce monde de cristal où la délicatesse coule de source comme une évidence. Un texte magnifique pour une histoire qui nous captive et nous émeut de la première à la dernière page.
Vosges Matin (Gérard NOËL 31/01/12) : Ce roman balzacien est servi par une langue à la fois précieuse au sens où elle est portée par une vraie musicalité de la phrase, mais aussi précise car Gilles Laporte puise dans le vocabulaire technique de l’époque pour rendre plus présent encore un métier patrimonial ou l’atmosphère d’un foyer modeste (…) On sent l’auteur porté par son histoire, mû par la noble ambition de revisiter un passé qui méritait de laisser une trace. Cette trace, Gilles Laporte la met en lumière en digne artisan de la plume que les artisans du cristal auraient considéré comme l’un des leurs (…) Nouvel hymne à cette Lorraine que Gilles Laporte célèbre en lui faisant de beaux enfants littéraires.

A suivre...

mardi 7 février 2012

Cantate de cristal... la presse en parle !

LE VILLEFRANCHOIS (29 12 11) : Cantate de cristal… Belle histoire d’amour, avec, comme joli fond, l’âge d’or des cristalleries de Baccarat.
Vallée FM (01 12) : Ouvrage d’une grande beauté (avec ce personnage) qui oscille entre le métier de verrier et sa voix unique et cristalline comme le verre ! Florent va vivre le plus grand dilemme de sa vie entre le chemin tout tracé pour lui au sein des cristalleries et son don qu’il se doit d’exploiter. Le choix sera difficile, mais le lien est bien vivant entre ces deux destins… c’est pour cela que le livre est magnifique !
Actualite-litteraire.com (01 12) : Ce pourrait être le roman du cristal, des ouvriers du verre, tant les descriptions du métier exercé par Florent, héros que l'on suit depuis l'enfance jusqu'à l'âge adulte, sont méticuleuses et fascinantes. Or c'est bien la musique qui donne sa chair au livre. Nous sommes en Lorraine, à la fin du XIXe siècle. Le garçon a un don remarquable pour le chant, mais son père s'oppose à sa vocation. Aussi Florent se forme-t-il à l'école de la Compagnie des verreries et cristalleries de Baccarat. Bientôt, la passion le rattrape : elle a les traits de Regina. La jeune femme, qui vient du pays de Bach, n'aime rien tant que la musique. Et, malgré la différence d'âge, c'est un chant d'amour des plus subtils, des plus ardents qui s'élève entre ces deux âmes...
Elise FISCHER (écrivain 03 01 12) : Merci pour votre roman Cantate… que j'ai lu d'une traite. Bel hommage à l'art, au cristal, à Baccarat et au chant... C'est vrai que le cristal chante. Tout cela est fort beau…
ECOLES JUIVES (05 01 12) : Le récit est sans nul doute très bien ficelé et nous tient en haleine à chaque page qu’il nous est donné de parcourir. On apprécie toujours l’écriture voluptueuse de Gilles Laporte qui nous entraîne dans une balade sentimentale peuplée de personnages authentiques et qui se livre dans un texte magnifique et détonnant, et qui ressuscite des personnages qui ont insufflé leur âme à leur terre. Il y a des livres que vous refermez en sachant que vous les avez aimés, mais qu’il n’en restera pas grand-chose. Et puis il y en a d’autres, Cantate de cristal en fait partie, dont vous êtes sûre qu’ils laisseront des traces durables.

A suivre...

Cantate de cristal Gilles Laporte éd. Presses de la Cité 400 p. 20 euros

vendredi 3 février 2012

Cantate de cristal - Vosges Matin

Gérard Noël, rédacteur en chef du quotidien Vosges Matin fait l'éloge de... mon nouveau roman historique Cantate de cristal (éd. Presses de la Cité) : Merci !