lundi 7 février 2011

La Fontaine de Gérémoy : A Vittel, samedi, et premières réactions presse

Ce samedi 12 février 2011, je serai à VITTEL pour présenter et dédicacer mon nouveau roman historique "La Fontaine de Gérémoy" :
10 h-11h30 : bibliothèque - médiathèque présentation suivie de dédicace.
11h30-12h30 : Accueil par le Maire et son Conseil municipal. Verre amical.
14h-18h30 : dédicace-rencontre-échange à la Maison de la Presse, rue de Verdun.

Le dernier roman de Gilles Laporte, La Fontaine de Gérémoy, se déroule dans le cadre somptueux de Vittel. C'est là, un siècle durant, que va s'accomplir le destin exceptionnel d'une mère et de sa fille, Malie et Julie. Un subtil mélange de réalité et de fiction. Et "un hommage magnifique rendu aux femmes" (avis unanime de la presse).
Une bonne journée à passer ensemble, autour de... La Fontaine de Gérémoy !

Les premières réactions de la presse :
FISCHER Elise (RCF Paris – 30 12 10) :
J’ai commencé hier soir ce beau roman et je l’ai terminé les larmes aux yeux avec l’envol d’un ange, n’est-ce pas ? Voici donc cette terre des Vosges mise à l’honneur, mais pas seulement. Le Berry, Paris, le Nord ne sont jamais loin tant il est vrai que nous assistons dès la moitié du 19ème siècle à la naissance d’une véritable conscience face à l’oppression. La Révolution est passée par là et si tout n’est pas gagné les chemins s’ouvrent. On ose dire et s’opposer. Marie-Amélie peut être fière de sa fille Julie… Entre 1850 et 1945, ces deux rebelles feront beaucoup pour que le chant des femmes méprisées devienne ce puissant hymne à la liberté. À leur suite, d’autres pourront marcher. Elles auront lu et appris et fait leur ce qui pourrait être une devise… trois mots de Victor Hugo « Aimer et agir »… avec pour modèles George Sand, Louise Michel mais aussi quelques auteurs de « bonne volonté » dont Jules Romains… Merci.
VISSE Bernard (Vosges Matin – 27 01 11) :
Dans Vittel naissante et renaissante, dans Paris bouillonnante, la saga de deux héroïnes au sang vif.
Gilles Laporte est un conteur né. Il faut l’entendre, lors de ses conférences et autres lectures publiques, donner leur rondeur aux mots, ou leur tranchant ; sa hauteur au ton, ou son chuintement. Il conte à voix haute comme il écrit avec la passion qui sied aux auteurs captivants. Et il se lit avec tout autant d’émotion qu’on l’écoute.
Ici encore, l’auteur s’attache au destin d’une femme, Marie-Amélie, et à celui de sa fille, Julie. Il aime ces femmes indépendantes et fortes, fortes jusque dans leurs faiblesses. Il les accompagne dans Vittel et partout ailleurs, depuis cet arpent de « terre à renards » que Louis Bouloumié acquit pour implanter son Hôtel de l’Etablissement en 1857 jusqu’à ce jour tragique de 1944…
Cette « Fontaine de Gérémoy », venant après « Le Loup de Métendal » chez le même éditeur, confirme qu’il faut compter désormais avec cette voix et ce style-là. Mais nous le savions déjà, en Lorraine.
FRANÇOIS Nicolas (Vosges Matin – 03 02 11) :
Vittel, personnage à part entière dans un roman. Voici l’hommage qu’a voulu rendre l’écrivain Gilles Laporte à cette ville. Un hommage sincère, presque viscéral, nourri de détails historiques sur une époque qu’il n’a connue que par le biais de témoignages et autres recherches documentaires (…) un hymne à l’esprit de Vittel, et par extension à celui des « Bouloumié » créateurs et embellisseurs successifs de la station thermale. Il y narre le tumultueux destin de deux femmes de caractère, volontaires et indépendantes, sur un siècle. Une période durant laquelle tout reste à faire en matière de droits des femmes.
GAY Marcel (L’Est Républicain – 06 02 11) :



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