A quelques heures d’intervalle, soit… au même moment :
André AGASSI, ancien champion de tennis, révèle dans ses mémoires Open : An Autobiography (à paraître bientôt en France) que, pour rester en haut du tableau mondial, il s’est dopé à la métamphétamine en 1997.
Le monde entier du tennis professionnel lui tombe aussitôt sur la raquette, le menace des pires représailles, bientôt suivi par le grand public conduit par une presse outrée…
Frédéric BEIGBEDER, ancien publiciste devenu auteur, publie Un Roman français dans lequel il raconte comment il a été surpris le 1er février 2008 en train de sniffer de la cocaïne sur le capot d’une voiture, à 3h du matin, dans le 8ème arrondissement de Paris. Aussitôt, la bulle médiatico-littéraire parisienne explose de bonheur. Beigbeder reçoit même le prestigieux Prix Renaudot !
CHERCHEZ L'ERREUR !
photos : Agassi Reuters - Beigbeder AFP
6 commentaires:
Effectivement, la conduite de l'un est aussi criticable que celle de l'autre. Et puis les révélations de ce genre on s'en f...Cela n'ajoute rien au sport ni à la littérature et ce sont des exemples pernicieux.Amitiés. J.C.
Tous les sportifs se droguent, pour pouvoir tenir sur la durée. Tout le monde le sait mais shut...
Ce genre de révélation ne sert à rien.
Sauf, si on demande à Agassi ou tant d'autres sportifs, de rendre ce qu'ils ont gagné grâce aux drogues.
Ce serait un exemple pour les jeunes qui "adulent" ces sportifs drogués.
L'essentiel n'étant plus de seulement participer mais de gagner.
il fallait bien à agasi quelque chose de croustillant pour vendre
son livre superflu..
Je suis parfaitement d'accord avec "Fille de l'Eau". J.C.
Tout ça est bien triste... je suis d'accord avec JC et Fille de l'eau...Moi je vous propose un petit vin blanc moelleux avec une tartine de roquefort...
Rénica, je suis partante. C'est simple, bon et surtout conviviale
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